LE groupe EL

Sylvain Hudlet est maître de conférences à l’Université de technologie de Troyes. Il y propose, en plus des enseignements classiques de physique dont il est responsable, une unité de valeur sur l’histoire de la physique et de l’astronomie.

Dans le cadre de l’Année mondiale de l’astronomie, il a réalisé avec Marc Lachièze-Rey une exposition intitulée “Lumière sur le ciel” dont l’objet est la présentation, à travers des pièces du fond ancien de la médiathèque de Troyes et également de l’Observatoire de Paris, de ce qui a été dit, pensé et observé du ciel depuis le monde grec. Il doit l’intérêt qu’il porte à l’histoire des sciences à l’émerveillement que lui ont communiqué des enseignants qu’il a rencontrés au cours de ses études à Paris 7 comme par exemple Françoise Balibar, Jean Matricon ou Alain Laverne.

Durant l’été 2008, il s’est attaché à une première sélection de passages de l’ouvrage de Galilée, “Dialogue sur les deux grands systèmes du monde”, qui se prêtent aux jeux et au jeu de scène.

Claire Mathaut, qui joue Salviati, a un parcours de comédienne rigoureux et large, enrichi d’une approche de la danse et du chant. Elle a été formée à l’art dramatique au Théâtre de la Comédie de Reims, puis elle approfondi les techniques Grotowski/Meyerhold, le Nô et le Kabuki au Japon, ainsi que la Commedia dell’arte avec Carlo Boso.

Soprano en chant lyrique, elle suit les ateliers d’Haïm Isaacs pour explorer la voix en improvisation. Elle a été danseuse dans « S pour M », chorégraphié par Karry Kamal Karry au Théâtre de Confluences.

Elle a mis en scène « L’éveil du Printemps » de Wedekind, à Paris 9^ème, « Incendies » de Wajdi Mouawad, avec la troupe des Saltimbanques. Elle est partie en tournée en Europe et au Sénégal avec la Compagnie Graines de soleil pour « Terrain vague ».

Elle a joué « La femme comme champ de bataille » de Matei Visniec au Lavoir Moderne Parisien, le rôle de Frosine dans « L’avare » de Molière à l’Institut français de Casablanca et à Marrakech, le rôle de Bélise dans « Les amours de Don Perlimpin et Bélise en son jardin » de Garcia Lorca, mis en scène par Christian Schiaretti au C.D.N. la Comédie de Reims, ou encore le rôle d’Alcmène dans « Amphitryon » de Molière au Festival Off d’Avignon.

Elle ne s’interdit pas quelques escapades au cinéma, dans Lignes de fuite d’Alexandre Zeff, Dilop de Zirek et A. Emery ou Down town d’Enrico Giordano.

Ou Juan Cristòbal Castillo Mora :

Cristobal a d’abord étudié l’architecture d’intérieur à Santiago du Chili, puis débute son expérience professionnelle en tant que régisseur lumière. Il travaille, à ce titre, à Santiago pour de nombreux groupes musicaux comme Inti Illimani, U2, The Rolling Stones, Yes, Ruben Blades, Miguel Bose, Toquinho, Beastie Boys entre autres . Et commence sa collaboration avec La Troppa pour les pièces «Pinocchio» et «El viaje al centro de la Tierra» avec lesquelles il part en tournée dans tout le Chili, en Argentine, au Brésil, Venezuela, République Dominicaine, Etats-Unis, Espagne, Portugal et France.

Parallèlement, il travaille comme  régisseur évènementiel pour la réception du président d’Argentine, Saul Menen, au musée des Beaux Arts du Chili et celle du président du Brésil, Henrique Cardoso au Palais de la Moneda (siège de la Présidence de la République du Chili).

Il commence son métier de concepteur lumière comme assistant sur le Ballet « Giselle » d’Ivan Nagy au Théâtre Municipal de Santiago du Chili puis sur « Solo » chorégraphiée par Teresa Alcaino, «Un Feliz Dia» mis en scène par Mauricio Diaz. Il devient éclairagiste concepteur de La Troppa pour le spectacle «Gemelos» qui tourne sur tout le continent américain, en Asie et en Europe, notamment dans le festival « In » d’Avignon en 1999.

Il s’installe en France en 1999. Il travaille depuis, principalement, comme technicien lumière pour les théâtres de la MC93 à Bobigny, de l’Odéon et de Chaillot. Il a fait les tournées d’«Eva Gabner» avec Isabelle Huppert en France, Espagne, Suisse et Allemagne et de «Face à la Mère» en France, Italie, Suisse et Haïti.

Comme créateur lumière, il intègre la compagnie Umbral et travaille au sein de celle-ci sur les pièces : « Lorsque cinq ans seront passés » et « l’Histoire du communisme racontée aux malades mentaux ».

Il fait en 2009 la création lumière de « Je me suis souvent étonné ».

Samuel Guitton, 22 ans, est étudiant en Mastère de Journalisme scientifique à l’Université Paris-7 Denis-Diderot. Après un Bac série S, il suit des études en Biotechnologies environnementales et Ecologie évolutive, et obtient une Licence de Sciences de la Vie. Il participe à l’European Summer University à Florence en Italie, et travaille pour un bureau d’étude en Environnement au Département Hydrobiologie.

Il participe à « Je me suis souvent étonné » en tant que co-auteur de l’adaptation et coordinateur des activités universitaires.

Fabien Goubet, 26 ans, est étudiant en Mastère de Journalisme scientifique à l’Université Paris-7 Denis-Diderot. Après un Bac série S, il obtient une Licence en Biologie Cellulaire et Physiologie, puis un Mastère de Biologie cellulaire et intégrative à l’Université Joseph Fourier à Grenoble.

Attiré par la transmission des connaissances, il est professeur particulier pour Reussit’ School à Bruxelles.

Il effectue un stage chez 5Fourty Ltd., dans le cadre du projet The Publishing Network, sur l’agrégation et le traitement de contenus éditoriaux pour un réseau de blogs sur les nouvelles technologies. Il a également deux expériences au Centre de Recherche du Service de Santé des Armées.

Passionné d’informatique, de sciences et de science-fiction, il est rédacteur sur le blog picoprojecteurs.com et ecrans-oled.net, pour des articles sur l’actualité.

Il participe à « Je me suis souvent étonné » en tant que co-auteur de l’adaptation.